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A qui je m'adresse ?

A qui je m'adresse ?

Je m'adresse à toutes personnes  désirant, dans une large mesure, entreprendre un travail sur soi, dans un but précis ou non. Le « désir » est le moteur qui motive et alimente l'engagement dans cette quête de croissance personnelle ; il constitue la condition première, le point de départ pour travailler efficacement sur soi. 

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La psychothérapie classique et la psychanalyse sont les méthodes auxquelles je me réfère. Elle vise toutes les deux, plus ou moins, la connaissance de soi.

A qui s'adresse la psychothérapie ?

La psychothérapie telle que je la pratique s'adresse à tous ceux qui cherchent une aide précise et dynamique de la part du thérapeute sur le court et le moyen-terme. Il ne s'agit en aucun cas d'un travail de fond visant à explorer tous les aspects de la personne ou de sa vie, mais à accompagner, à soutenir (thérapie de soutien) ou à soulager une personne en souffrance en atténuant ses symptômes qui l'affecte.

 

Elle offre, à titre d'exemple, un soutien ciblé pour aider les individus à affronter leurs propres angoisses, à surmonter des difficultés relationnelles, à développer des compétences pour mieux gérer le stress et les émotions, à renforcer une meilleure estime de soi, à rétablir un équilibre de vie, à sortir d'une tristesse liée à une mauvaise orientation de ses désirs, à se libérer d'une relation toxique ou à verbaliser et à traiter un traumatisme douloureux, en fin de compte, à améliorer leur bien-être général.

 

Voyez-vous, la plage de nos difficultés est aussi large qu'il y a d'individus sur la planète.. Cependant, la psychothérapie ne se limite pas seulement à aborder ces défis, mais elle accorde aussi un espace précieux où nous pouvons partager nos joies et réussites. C'est un lieu où vous serez entendu sans jugement, accueilli avec bienveillance.

 

Je le répète, la psychothérapie ne permet pas d'atteindre l'inconscient profond, comme le fait la psychanalyse, mais s'attache à travailler sur des objectifs spécifiques dans un laps de temps court visant une meilleure relation à soi-même, aux autres et à son environnement.

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Le dispositif psychothérapeutique se fait en face à face. 

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A qui s'adresse la psychanalyse ?

La psychanalyse s'adresse à tous ceux qui cherchent à explorer en profondeur leur être intérieur, à comprendre la complexité de leur psyché, à rendre conscient des contenus refoulés..
 

Certains consultent dans une démarche de connaissance de soi, animés par une quête de sens, à la recherche de réponses à des questions existentielles ou parce qu'ils aimeraient devenir plus libres, plus lucides, plus authentiques, plus conscients, parce qu'ils cherchent à s'accorder à leur nature d'être, à leurs désirs profonds ou bien d'atteindre un équilibre psychologique et émotionnel, car ils souffrent sans savoir pourquoi..

 

En effet, pourquoi répétons-nous compulsivement, à notre insu, les échecs du passé, pourquoi reproduisons-nous les mêmes schémas relationnels de notre enfance ou les traumatismes vécus durant cette période ? Pourquoi souffrons-nous de troubles obsessionnels ou de troubles du comportement alimentaire ? Pourquoi cet attachement excessif à l'égard d'un objet, d'un produit ou d'une situation dont la consommation avide entraîne de grandes souffrances psychologiques ? Pourquoi sommes-nous les gardiens-prisonniers de nos symptômes ? Le symptôme est la mauvaise solution de quel problème sous-jacent ? Quels sont les bénéfices secondaires inconscient qui entretiennent nos symptômes et qui nous empêchent d'aller vers un mieux-être ?

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La psychanalyse permet d'explorer, vous l'aurez compris, les causes profondes de ces problèmes, de plonger dans les racines de nos symptômes et de retrouver sa propre vérité intérieure..

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Mais comment accéder à notre inconscient ?

 

La méthode associative est la règle fondamentale de la psychanalyse (ou méthode de libre-association)

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Le principe est très simple : pour entreprendre ce voyage de découverte de l'inconscient, pour accéder aux souvenirs refoulés, il consistera pour le consultant à exprimer librement, de manière aussi spontanée que possible, tout ce qui lui vient à l'esprit, sans aucune restriction ni auto-censure, même si cela semble incohérent, insignifiant ou embarrassant et sans se préoccuper de produire un discours élaboré.

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Le consultant doit être en mesure de « suspendre » sa conscience, sa raison durant les séances, c’est-à-dire de limiter autant que possible les obstacles causés par la pensée rationnelle, afin de faire émerger des contenues de pensées habituellement refoulées dans la vie quotidienne. En exprimant ses pensées avec le moins de retenues possible, le consultant finit par partager des idées qui le surprennent et se remémore progressivement des aspects de sa vie qu’il avait oubliés.

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J'insiste bien sur ce point, il ne s'agit pas de faire le récit de sa vie comme on le ferait lors d'une psychothérapie ni de discuter avec l'analyste comme on le ferait avec un ami, il s'agit de dire tout ce qui vient à l'esprit (pensées, sentiments, souvenirs, images, etc.), puis d’associer ces éléments afin d’accéder à des souvenirs refoulés qui étaient jusqu'alors hors de notre conscience.

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Une dernière chose, en psychanalyse, l'analyste écoute plus qu'il ne parle ou ne conseille, afin d'éviter toute influence ou suggestion de sa part. Il n'intervient que pour pointer du doigt ce qui se dit de fort, à mettre en lumière des propos marquants et à fournir quelques interprétations pour aider à rendre conscientes les significations inconscientes. Cependant, c'est au consultant de prendre en charge le travail d'analyse, c'est-à-dire de construire lui-même ses propres analyses en établissant des liens associatifs avec des souvenirs, des émotions à partir des propos qu'il énonce. C'est ce qu'on appelle le travail d'élaboration.

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​En donnant des significations à nos souffrances, en comprenant leur origine, en tissant des liens associatifs avec notre histoire et en les partageant avec quelqu'un d'autre, l'élaboration permet de lever du refoulement, de réduire la charge de ses symptômes, de libérer les tensions internes et de résoudre les conflits psychiques favorisant la résilience et la croissance personnelle.

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Le consultant sera traditionnellement allongé sur le divan, l'analyste étant hors de son champs visuel. Ce dispositif permet au consultant de se concentrer pleinement sur ses associations d'idées, sans se sentir observé ou jugé, mais aussi de permettre le transfert*. 

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A qui vous adressez-vous ?

Je suis psychanalyste, titré par/et membre de la Fédération Nationale de Psychanalyse (FNP), laquelle est une association de professionnels regroupant plusieurs écoles de formation à la psychothérapie et la psychanalyse.

 

L'IFAPP, institut de formation auquel j'étais inscrit et auquel j'ai suivi 5 années en métapsychologie et en psychopathologie, est reconnu pour la qualité et le sérieux de son enseignement depuis plus de 20 ans.

 

J'ai entrepris et je continue d'entreprendre un travail sur moi, lequel n'est « jamais » terminé, car, comme le dit Pierre DACO, l'envergure d'un analyste provient de son envergure intérieure et parce que personne ne peut conduire personne plus loin qu'il n'est arrivé lui-même.

 

J'exerce donc la psychanalyse, les psychothérapies classiques et analytiques, ainsi que les thérapies de soutien.​

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